Les hautes portes vitrées franchies, nous restons, bouche bée dans ce décor chargé d’histoire. Mon cerveau enregistre les images, les odeurs, les lumières et les sons.
Le bruit d’un pas rythmé sur les pavés.
Il est là.
Notre interlocuteur, le mystérieux messager de Linkedin, l’homme au prénom de héros « so » romanesque.
L’oeil enjoué et vif d’allure, il nous accueille et nous entraine en couleurs pour plus de deux heures d’échanges passionnants.
Du bureau où chaque objet attire notre regard, de notre démo survoltée en direct du petit canapé, des statues de marbre sculptées à l’hémicycle au zénith éclairé, chanceux nous sommes, conscients du privilège d’être là en cet instant suspendu.
Là où il y a une volonté, il y a un chemin.
Serait-ce donc ce jeune homme volontaire qui ouvrirait la voie pour OnyXP au coeur de cette vénérable institution ?
Cher journal, la fable contait un train de sénateur mais c’est à bord d’un pari-express vers le futur que nous avons voyagé entre 14h et 16h30 sous les ors de la République.
A l’instar du « solitaire Orelsan avec du monde autour », on aurait presque « aimé qu’le temps s’arrête », car » c’qui compte c’est pas l’arrivée c’est la quête ».
Alors, le compte est bon.
Dans l’histoire de l’ambitieuse OnyXP, je suis sûre, cher journal, que cet épisode est à marquer d’une pierre blanche nous encourageant à poursuivre la quête du grand Jacques pour atteindre enfin l’inaccessible étoile.
Mu-Ema.
